in reply to Lizzie Crowdagger

En vrai le rapport de la droite aux aménagements genre vélo et compagnie j'arrive pas à comprendre genre ok ils défendent les riches ok ils sont racistes, homophobes etc mais pour le vélo ? Genre ça fait faire de l'activité physique blabla la france machin toussa, t'es pas assisté·e par un moteur (sauf les VAE ok ça je comprends qu'ils soient contre) ça demande de faire un effort et ils aiment bien demander de faire des efforts donc pourquoi ? :chat_perplexe:
in reply to Lizzie Crowdagger

je pense que la clef pour comprendre la droite c'est qu'ils veulent vivre sans se prendre la tête. Sans incertitudes, sans questionnement sur comment faire une société meilleure, sans changer leur habitude. Ils ont la flemme de penser et ils veulent profiter de la vie en faisant comme avant. Donc le vélo ça les emmerde parce que ça change leurs habitudes.
in reply to Lizzie Crowdagger

Aussi c'est trop drôle les droitos qui vont te sortir à ce moment là "oh le vélo c'est pas adapté pour tout le monde" et genre ok mettons (même si spoiler la voiture non plus et si y'a pas de place pour les vélos c'est souvent pas simple pour les fauteuils roulants) mais t'es pas censé être un droitos viril qui se moque des "hommes soja" et compagnie???
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@Lizzie Crowdagger
Il n'y a pas 1 seul type de droitard, malgré ce qu'eux-mêmes aiment croire.
Ce qui les unit tous, avant même le christianisme, c'est la trouille.
De tout : de l'avenir, de l'incertitude, du changement, de l'autre, de l'uniforme, de toute forme d'impuissance...
Leur mantra du "c'était mieux avant" signifie surtout "c'était mieux quand j'étais un enfant nourri-logé-blanchi irresponsable".
Pour ce qui concerne le modèle démocratique, la libre-entreprise et le marché concurrentiel... les droitards de base n'y comprennent rien et au fond, s'en foutent.
in reply to Lizzie Crowdagger

franchement le rapport de la droite aux efforts, il est compliqué aussi. Ils aiment bien l'idée, ils aiment bien le style que ça a, ils aiment bien dire que si des gens sont dans la merde c'est la faute à leur absence d'effort, mais quand il faut faire des efforts eux même bon... Ça dépend quoi. Certains aiment toujours, mais vraiment pas tous quand même.
in reply to Lizzie Crowdagger

le rôle statutaire de l'objet "voiture" est un des leviers actionné par les opposants aux infras cyclables.
C'est assez bien décrit dans « Quand la publicité s’oppose à la transition écologique » de Léo Larivière.

La quote qui est la plus claquée, quand on fait une remarque à un bagnolard garé comme une merde sur une piste, c'est "Oui mais moi je bosse".

Ce à quoi je réponds systématiquement :
"Ahah et moi j'allais aux champignons"