Meta risque un exode massif : "#HelloQuitMeta", comme prochain mouvement viral ?
La récente décision de Meta d'autoriser les allégations de maladie mentale envers les personnes LGBT+ sur ses plateformes soulève une vague d'indignation1. Cette nouvelle politique de modération, annoncée par Mark Zuckerberg, permet désormais de qualifier de "bizarre" ou "malade mentale" une personne en raison de son orientation sexuelle ou son identité de genre, sous couvert de liberté d'expression.
Ce virage conservateur de Meta que l'on observe depuis le début du mois de janvier 2025, que l'on attribue à une forme d'allégence de Mark Zukerberg au futur président US pourrait avoir des conséquences désastreuses pour l'entreprise, similaires à celles observées sur X (anciennement Twitter) avec le mouvement HelloQuitX (helloquitx.com/). En effet, cette décision risque non seulement de violer le droit européen et français, mais aussi et surtout d'aliéner une large partie de sa base d'utilisateurs, particulièrement sensible aux questions de discrimination et d'inclusion.
Face à cette situation, on peut se demander si un mouvement "HelloQuitMeta" ne va pas émerger, incitant les utilisateurs à quitter massivement les plateformes de Meta. Ce phénomène pourrait représenter un sérieux revers pour l'entreprise, tant en termes d'image que de revenus publicitaires. À l'heure où les réseaux sociaux sont scrutés de près pour leur gestion des discours haineux, Meta joue un jeu dangereux qui pourrait bien lui coûter très cher en nombre d'utilisateurs.
francetvinfo.fr/internet/resea…
#HelloQuitMeta #LGBTRights #SocialMediaExodus #DigitalEthics #CommunityStandards
Les nouvelles règles de Meta autorisant à traiter les personnes LGBT de "malades mentaux" sont-elles applicabl
Ces modifications des principes de modération ont été mises en place début janvier aux Etats-Unis, mais ne sont conformes ni au droit français, ni au droit européen.Linh-Lan Dao (Franceinfo)
like this
leastaction and Halyihev like this.
Halyihev reshared this.
La mise en oeuvre de tous les moyens de l'Etat à Mayotte inclut elle également la mobilisation du chef du gouvernement ?
La question se pose : la mise en œuvre de tous les moyens de l'État français inclut-elle la mobilisation du Premier ministre François Bayrou ? Ce dernier semble avoir jugé plus important de participer au conseil municipal de Pau, ville dont il est encore maire, malgré la récente loi sur le non-cumul des mandats, plutôt que de se préoccuper des dévastations provoquées par le cyclone tropical Chido à Mayotte.
En ce qui concerne l'urgence de travailler sur la loi de financement de l'État, toujours en attente, François Bayrou n'a montré aucune indication qu'il prendrait rapidement des mesures. La gestion de cette crise sanitaire à Mayotte demande une attention immédiate, d'autant plus que les infrastructures locales sont fortement endommagées et les besoins médicaux urgents.
De plus, un aller-retour Paris-Pau avec le Falcon du gouvernement émet environ 3 tonnes de CO2, rien que pour cet illustre passager. Cela dénote une responsabilité environnementale totalement absente pour ce nouveau chef du gouvernement.
À moins, bien sûr, qu'il n'ait aucune confiance en sa pérennité gouvernementale et prépare déjà, avant même d'avoir nommé son gouvernement, sa sortie. Sa priorité semble être ailleurs, laissant Mayotte et ses habitants face à une catastrophe sans précédent. Seul Bruno Retailleau, ministre démissionaire de l'intérieur, pour le moment représente l'Etat français et son gouvernement.
... quand on sait où la soupe est bonne...